BIOGRAPHIE

Osvaldo Moi né à Silius (Cagliari) Italie le 14 septembre 1961.
Diplôme géomètre Adjudant Chef et pilote d’hélicoptères de l’armée de terre depuis 1980.
Entre 1983 et 1995 est le visage, sur la presse nationale, de l’Ecole de l’Armée de terre italienne.
Décembre 1988 il est à New York aux Nations Unies en tant que représentant des Casques Bleu de l’ONU pour recevoir le prix Nobel de la Paix.
Il a participé à la mission UNIFIL pendant 14 mois dans le sud du Liban (Naqoura) avec l’ONU, il a été, toujours en tant que pilote de l’armée de terre, en Israël, en Hongrie, en Norvège, avec les Nations Unies, entre 1997 et 2006 a fait 36 mois en Bosnie (Sarajevo) avec la SFOR ; actuellement est au Liban à Naqoura pour la mission « Leonte ».
Sculpteur depuis toujours, Osvaldo Moi, depuis tout petit a manifesté une aptitude à la sculpture, d’abord à l’aise d’un simple couteau, en suite avec une tempera lapis ; à l’école primaire il créait des crayons d’une forme innovante et extravagante.
Son intérêt pour la sculpture naît déjà depuis l’école primaire et en même temps, la présence de sa sœur Maria Dolores, artiste affirmé, a été fondamentale.
Son style est simple et original et privilégie les courbes essentielles; une importante propension pour le détail qu’on retrouve dans chacune de ses oeuvres. Osvaldo Moi n’as pas toujours aimé partager sa passion pour la sculpture et ses œuvres. L’idée de l’expo naît de l’envie de faire connaître à un public plus important son art et sa perception des formes.
Cette volonté trouve sa raison d’être à partir de sa participation à deux éditions de l’initiative « La Sgorbia » qui lui font créer des œuvres in direct à partit d’un thème choisi par le jury ; aux deux éditions, sur environ soixante-dix personnes il se place toujours dans les dix premiers. Il se persuade donc qu’il faut partager ses créations avec des personnes sensibles à sa linéarité dense de contenu.
Le moment tragique de l’attentat de Nassirya, aux soldats italiens en Iraq, avec 19 morts, a été interprété artistiquement par Osvaldo Moi avec une sculpture réalisé à Sarajevo, avec du chêne rouvre des Balkans.
L’œuvre est le résultat d’une élaboration personnelle des soldats, une volonté de communiquer la souffrance profonde e à l’information ; d’une essentielle « construction » du complexe monumentale.

La sculpture en chêne rouvre des Balkans a en elle même une valeur symbolique et morale, un témoignage de la douleur de l’humanité un suggestive confrontation formelle, où le model suggère une clefs de lecture de l’événement.
La statue pour les morts à Nassiriya (h.120, l.110, p.45) a été fusionée en bronze en deux copies :
monument inauguré en 2004 à l’intérieur de Viale Massimo Ficuciello-Viale IV Novembre, à Novara (Piemont)
monument inauguré en 2006 et placé dans le Piazza d’armi à Turin (Piémont)
monument inauguré en 2009 et placé dans le Piazza della Pace à Pianezza (Turin – Piémont)